Au fil des semaines, dans les cours de peinture et de dessin, nous avons vu que  la peinture est considérée comme un art dans la Chine ancienne lorsqu’elle “emprunte” à l’art de la Calligraphie. Alors si la peinture doit être semblable la calligraphie, à quoi bon peindre ? En fait, la spécificité de la peinture Lire la suite →

… ou papier de riz, est un papier qui ne “paye pas de mine”. Très fin, il semble ne pas faire le poids par rapport à nos papiers aquarelle. C’est d’ailleurs le cas: il “pèse” dans les 30 à 50 g/m2 ce qui est peu par rapport aux 300 g/m2 des papiers aquarelle moyens. Il Lire la suite →

Le tableau achevé, il est indispensable de procéder au marouflage (encollage) du papier de riz. On utilise pour cela du papier de même qualité que celui du tableau, afin que les deux feuilles réagissent de manière similaire aux variations atmosphériques. Le support en papier porte le nom de “papier  de vie” parce qu’il fait apparaître Lire la suite →

        5° règle : “Le culte de la tradition” : Le culte du passé dominait l’art tout entier, et c’était une tâche considérée comme importante et honorable que de copier les oeuvres des grands maîtres.    « la copie pour transmettre le passé » « Copier » n’était pas seulement manifester son respect pour les anciens artistes mais Lire la suite →

Continuons à découvrir ou re-découvrir les règles édictées par Sie Ho Troisième canon : “Le nuancement des couleurs” : Pendant la période T’ang, la couleur joua un rôle de premier plan dans la peinture chinoise et attei­gnit, dans l’art bouddhique de cette époque, un éclat et un chatoiement qui ne seront jamais plus égalés. « Lire la suite →

… Ces quatre dernières semaines nous avons abordé en cours de dessin, la calligraphie chinoise; d’abord les traits ( les huit fondamentaux), puis la combinaison de ceux ci en idéogrammes; et enfin la réalisation d’une phrase entière. Nous n’avons pas pour but de devenir des lettrés chinois; simplement cette initiation nous a permis de connaître Lire la suite →

Sie Ho,grand critique d’art du V° siècle définit les « Six Canons de la Peinture » qu’un peintre devait observer pour parvenir au grand art. Le premier est “la dextérité de la touche”: Pour les Chinois, la ligne, beaucoup plus que les jeux d’ombre et de lumière de l’art occidental, est à la base même de la Lire la suite →

Claude… suite à notre conversation de cet après-midi …une petite histoire … Le peintre Ni Yu, à l’époque où il peignait le tableau ” Forêt aux lions”, se référait encore aux maîtres anciens, puisque dans le tableau il écrivit : ” Mon art a pour source celui de Ching Hao et de Kuan T’ung”. Plus Lire la suite →