… Nous avons repris le ” chemin” de l’atelier d’icônes cette semaine. Nous avons commencé à préparer les supports et à choisir le modèle. Pour le support, prévoyez pour ceux qui ne l’ont pas encore fait : une planche de contreplaqué de 24 x 30 cm et 2 cm d’épaisseur ( au minimum) Ainsi que Lire la suite →

Pour l’atelier à thèmes sur les icônes, j’ai mis en ligne un album avec quelques modèles. Si vous avez aussi des modèles intéressants, envoyez les moi, je les rajouterai. Ceci de façon à ce que chacun puisse choisir. Pour les “débutants”, nous ferons la préparation du support ensemble…

Lorsque la peinture de l’icône est terminée, celle-ci était recouverte  d’une couche pro­tectrice appelée olifa : épaisse couche d’huile de lin cuite, séchant rapidement, à laquelle on ajoutait de l’ambre pulvérisée Traditionnellement donc, les icônes n’étaient pas vernies mais protégées ainsi de l’humidité, de la poussière et de la suie provenant des cierges. (Le soir, on Lire la suite →

Le bord de l’icône est traité avec autant de soin que le reste du tableau ; ses caractéristiques dépendent souvent de l’époque et de l’année ou l’icône a été peinte. En Russie, le bord inté­rieur de l’icône, ainsi que ses bords extérieurs, était entouré d’une ou deux lignes de largeur et de couleur différentes. A Lire la suite →

Depuis le XVI° siècle, en Russie, les dessins trans­férés sur la surface à peindre étaient ensuite gravés avec la pointe d’une aiguille. Plus l’enduit était épais, plus la gravure était profonde.   Cette méthode avait pour but de délimiter les surfaces à dorer, afin que les contours restent visibles même recouverts d’une couche de couleur. Lire la suite →