Les artistes de la Chine ancienne peignaient à l’encre et à l’aquarelle. Ils  ne se satisfaisaient pas d’imiter la nature. Leur but, plus ambitieux était de capter l’esprit autant que la forme du sujet. D’après Sie Ho (grand critique d’art du V° siècle) pour parvenir au grand art, un peintre devait observer six principes : les Lire la suite →

La peinture chinoise traditionnelle se divise en deux grands styles : – le gongbi, qui est précis et minutieux. C’est  un dessin au trait ( à l’encre de chine diluée) que l’artiste met ensuite en couleurs; C’est un style raffiné, académique, formel, décoratif. Il se travaille sur du papier non absorbant (tel votre papier aquarelle Lire la suite →

Entre Le nuage         et l’éclair Rien Sinon Le trait          de l’oie sauvage Sinon Le passage Du corps foudroyé         au royaume des échos Entre François Cheng “A l’Orient de tout” dans la collection Poésie chez Gallimard  

L’apprentissage de la Peinture Chinoise passe par la réalisation des quatre “Gentilshommes” ou quatre “Seigneurs” que sont le bambou, l’orchidée, le chrysanthème et la fleur de prunier. Ils symbolisent aussi les quatre saisons : respectivement, l’été, le printemps, l’automne et l’hiver. Pour les illustrer voici les réalisations de Mireille D qui les a réalisés avec Lire la suite →

Toujours de Wang Wei …   “Le mont d’automne recueille le reste du couchant Un oiseau vole à la poursuite de sa compagne Par intermittence chatoie le bleu-vert La brume du soir, elle, est sans lieu”   A collectionner… à réfléchir… Une encre… une aquarelle… autre…!? “Dormez la nuit”, mais réfléchissez quand même !!!

Je l’ai mis en conseil du jour, je l’ai aussi distribué en cours Le poème est de Wang Wei (701-761)   l’un des artistes les plus doués de la dynastie desTang. Il excellait aussi bien en musique qu’en peinture et poésie, “qu’il porta à un haut degré de vision intérieure” (cf” L’écriture poétique chinoise” de François Lire la suite →